La rhinoplastie est certainement une des opérations de chirurgie esthétique les plus sollicitées en France. Nez trop long, trop large, crochu ou bossu… Cette opération de chirurgie du nez permet de rectifier ces petites imperfections parfois sources de grands complexes. Son effet ne passe pas inaperçu, car la réparation d’un nez disgracieux rétablit l’harmonie entre les différentes parties du visage. Les améliorations résultantes d’une rhinoplastie offrent une face remarquablement affinée.

La chirurgie du nez permet de modifier son volume, de corriger sa pointe et de rétablir la forme de son arête nasale. La déformation observée peut être innée comme elle peut être la cause d’un traumatisme grave. Il est aussi possible de traiter les problèmes naso-respiratoires à l’aide d’une rhinoplastie.

Il en existe deux types de rhinoplastie,
– La rhinoplastie fonctionnelle : C’est une opération de chirurgie réparatrice d’ordre ORL, qui consiste à redresser la cloison nasale des personnes souffrant de difficulté respiratoire.
– La rhinoplastie correctrice : C’est une opération de chirurgie plastique d’ordre esthétique, qui consiste à modifier la morphologie du nez au niveau des os supérieurs ou des cartilages.

Bien qu’ayant différents objectifs, ces deux types de chirurgie du nez peuvent être réalisés en même temps.

Une rhinoplastie ne peut être sollicitée avant 18 ans. C’est à partir de cet âge que les cartilages et les os du nez atteignent leur forme définitive. Toutefois, lorsque la personne mineure présente une imperfection importante du nez, et lorsque cette imperfection induit un retentissement psychologique, un traitement chirurgical peut être recommandé afin de traiter l’anomalie et d’aider l’adolescent à surmonter ses complexes et à mieux s’intégrer dans la vie sociale.

Les patients sexagénaires consultent généralement pour rétablir la forme d’une pointe tombante. Avec les années qui passent, la peau perd de son élasticité, ce qui affaiblit les cartilages soutenant le nez et sa pointe. L’angle labio-columellaire se réduit et le nez se projette vers l’avant. Ce phénomène entraine non seulement un désagrément inesthétique mais, aussi une gêne respiratoire.